Querido Erick:

Il y a un doute qui ne m'a pas permis de dormir hier soir : où vont-ils, les regards qui ont été perdus dans un passé plein de soupirs ? Où la photo est-elle restée celle qui t'envoie, où nous sortions en nous moquant de tous ?

J'ai toujours voulu t'écrire. La dernière fois que nous nous sommes vus à Paris, quand je suis arrivé avec ma valise à demi(en deux), un coeur à demi, un sourire à demi, et avons pris ce délicieux café dans la tour Eiffel (Peut-être il n'était pas délicieux, je ne le saurai jamais), je rappelle que je t'ai raconté mes peines, comme toujours, et reíste après avoir dit qu'une compagnie nationale des téléphones dénommée pouvait m'avoir sorti moins cher. Tout de suite tu m'as pris dans les bras et j'ai su pourquoi il était revenu. Quand reviens-tu au Mexique ? Quand j'ai terminé ce court - métrage et ai aussi terminé aimer celle-là.

Celles.

Aujourd'hui il avait beaucoup de choses que te raconte. On fait la cour, Ender est énorme, beaucoup de travail, beaucoup de beaucoup. Peut-être maintenant tu pourrais venir et je te donnerais cette embrassade. Mais non. La musique dans le clavier ce matin froid, est lente, lui fait mal, reste en flottant dans ma gorge. À la distance tu m'assassines avec lenteur. Peut-être même profite-cela, peut-être pleure un peu, peut-être ne t'oublie pas. Je sens la faiblesse de mes jambes, de mon torse, de mon âme, de mes caractères.

C'est que la vérité oui je meurs. Et personne ne le sait.
Il n'y a pas de photographies lesquelles lui pleurer. Je n'ai pas besoin d'elles. Pour cela j'ai ton visage froid, implacable, dans les images qui maintenant ne me servent de rien. Je ne dirai pas déjà que tu ne me laisses pas. Tu es parti si jeune, si beau, si talentueux. M'informer par une lettre de ta soeur ... il aurait préféré l'écouter de ta bouche comme le jour que je t'ai laissé dans l'aéroport : Sandra, je pars. Je ne vais pas revenir, mais je crois dans plus loin...

Il n'y a pas plus loin
Je plus loin il est mort avec toi.

Dans tes yeux. Je n'ai pas besoin d'elle. Non pour sentir ainsi. Pour sentir ainsi...

Je t'étonne, un ami.
Merci pour les lettres que tu as incluses dans où ilsm'ont averti de ta mort. Ils sont arrivés, à la fin...



Hay una duda que no me permitió dormir anoche: ¿A dónde van las miradas que se perdieron en un pasado lleno de suspiros? ¿Dónde quedó la foto aquella que te envíe, donde salíamos burlándonos de todos?
Siempre quise escribirte. La última vez que nos vimos en París, cuando llegué con mi maleta a medias, corazón a medias, sonrisa a medias, y tomamos ese delicioso café en la torre Eiffel (Quizá no era delicioso, nunca lo sabré), recuerdo que te conté mis penas, como siempre, y reíste al decir que podía haberme salido más barato una llamada telefónica. Luego me abrazaste y supe para qué había regresado. ¿Cuándo vuelves a México? Cuando termine este cortometraje y termine también de amar a aquella.

Aquellos.

Hoy tenía muchas cosas que contarte. Estoy enamorada, Ender está enorme, mucho trabajo, mucho de mucho. Tal vez ahora podrías venir y yo te daría ese abrazo. Pero no. La música en el teclado esta fría mañana, es lenta, le duele, queda flotando en mi garganta. A la distancia me asesinas con lentitud. Tal vez hasta lo disfrutes, tal vez llores un poco, tal vez no te olvides. Siento la debilidad de mis piernas, de mi torso, de mi alma, de mis letras.
Es que la verdad sí me estoy muriendo. Y nadie lo sabe.

No hay fotografías a las cuales llorarle. No las necesito. Para eso tengo tu rostro frío, implacable, en imágenes que ahora no me sirven de nada. Ya no diré que no me dejes. Te fuiste tan joven, tan bello, tan talentoso. Enterarme por una carta de tu hermana... hubiera preferido escucharlo de tu boca como el día que te dejé en el aeropuerto: Sandra, me voy. (Agregando) No voy a regresar, pero creo en el más allá...

No hay más allá

Mi más allá murió contigo.

En tus ojos. No la necesito. No para sentir así. Para sentir así...

Te extraño, amigo.

Gracias por las cartas que incluiste en el sobre donde me avisaron de tu muerte. Llegaron, al fin.